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26/01/2024
L'Alliance Francophone de Volley-Ball est née
A l’initiative de la France, du Maroc et de la Belgique, mais également de la Confédération africaine, vient d’être créée l'Alliance Francophone de Volley-Ball.
Cette toute première Alliance Francophone de Volley-Ball (AFVB) est officiellement née le 10 janvier, en présence de ses trois pays membres fondateurs, la France, le Maroc et la Belgique, mais également de la Confédération africaine de volley-ball (CAVB), qui étaient respectivement représentés par Eric Tanguy, président de la Fédération française de volley, Bouchra Hajij, présidente de la Fédération royale marocaine de volley-ball et de la Confédération africaine de volley-ball (CAVB), Hamid Ouaqouaq, représentant également la CAVB, et Claude Kriescher, directeur financier de Volley Belgium.
De nombreux pays africains devraient rapidement rejoindre l’AFVB, ainsi que le Canada et sa province du Québec, et des nations asiatiques, dont le Cambodge, où s’est rendu Eric Tanguy mi-janvier (voir ci-dessous). "La création de cette Alliance francophone répondait à une demande et à un besoin, puisqu’aujourd’hui, le volley-ball est un des rares sports qui n’avait pas d’association francophone, comme il en existe en athlétisme, dans le handball ou dans beaucoup d’autres sports", explique ce dernier, qui a par ailleurs été élu de cette nouvelle AFVB.
L’objectif assigné à cette nouvelle alliance ? "Il y en a plusieurs, répond le président de la FFVolley. D’abord la promotion du volley-ball dans les fédérations et régions dont le français est une des langues parlées ; ensuite travailler sur l'entraide entre pays francophones sur des sujets tels que la structuration, le développement technique et pédagogique ou l'échange de bonnes pratiques ; enfin faire entendre au niveau international la voix des pays francophones, qui sont nombreux, et tenter de peser collectivement sur certaines décisions. Aujourd’hui, par exemple, le volley et le beach-volley ne font pas partie des sports inscrits au programme des Jeux de la Francophonie, c’est quelque chose qui selon nous, est une anomalie, l’Alliance francophone est le bon endroit pour militer pour leur intégration."
De nombreux pays africains devraient rapidement rejoindre l’AFVB, ainsi que le Canada et sa province du Québec, et des nations asiatiques, dont le Cambodge, où s’est rendu Eric Tanguy mi-janvier (voir ci-dessous). "La création de cette Alliance francophone répondait à une demande et à un besoin, puisqu’aujourd’hui, le volley-ball est un des rares sports qui n’avait pas d’association francophone, comme il en existe en athlétisme, dans le handball ou dans beaucoup d’autres sports", explique ce dernier, qui a par ailleurs été élu de cette nouvelle AFVB.
L’objectif assigné à cette nouvelle alliance ? "Il y en a plusieurs, répond le président de la FFVolley. D’abord la promotion du volley-ball dans les fédérations et régions dont le français est une des langues parlées ; ensuite travailler sur l'entraide entre pays francophones sur des sujets tels que la structuration, le développement technique et pédagogique ou l'échange de bonnes pratiques ; enfin faire entendre au niveau international la voix des pays francophones, qui sont nombreux, et tenter de peser collectivement sur certaines décisions. Aujourd’hui, par exemple, le volley et le beach-volley ne font pas partie des sports inscrits au programme des Jeux de la Francophonie, c’est quelque chose qui selon nous, est une anomalie, l’Alliance francophone est le bon endroit pour militer pour leur intégration."
Le président Eric Tanguy au Cambodge. Dans la foulée de la création de l’Alliance Francophone de Volley-Ball, Eric Tanguy s’est envolé pour le Cambodge, où il a signé une convention avec Sar Sokha, son homologue de la Fédération cambodgienne de volley-ball. "C’est un pays partenaire avec lequel nous travaillons depuis plus d’un an. Le Cambodge a notamment accueilli pendant quinze jours l’an dernier un stage de préparation de notre équipe de France U19 qui, à la suite de ça, a été sacrée championne du monde. L’objectif de cette convention est d’aider le pays sur la formation d’entraîneurs et d’arbitres et de réaliser des échanges entre nos deux nations."
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