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02/08/2023
Euro Beach : Les Bleu(e)s en piste !
Quatre paires françaises seront présentes dès ce mercredi sur les championnats d’Europe de beach-volley, à Vienne (Autriche).
La crème du beach-volley continental a rendez-vous cette semaine, à Vienne, pour les championnats d’Europe (2-6 août). Sur la ligne de départ, il y aura quatre équipes françaises, dont trois dans le tableau masculin. Avec un petit changement de dernière minute dans la composition des paires tricolores.
“Youssef Krou s’est blessé sur le dernier match à Montréal, et ne pouvait pas jouer cet Euro. Et comme Julien Lyneel n’était pas complètement prêt, on a fait le choix d’associer Rémi Bassereau et Arnaud Gauthier-Rat, explique Christophe Victor, responsable du secteur beach-volley à la Fédération Française de Volley. C’est dommage, car c’était la première fois qu’on qualifiait quatre équipes, on était la seule nation à le faire sur ce tournoi avec les Pays-Bas, c’est important comme résultat, ça montre le travail effectué et l’homogénéité de cette équipe de France.” Pour Rémi Bassereau et Arnaud Gauthier-Rat, le but sera de rapidement trouver ses marques. “Il faut arriver créer la surprise avec trois séances d’entraînement dans les jambes. Mais ils ont des qualités en bloc-défense, et ils ont plaisir à jouer ensemble. On saura assez vite, puisqu’ils débutent sur le central contre une paire autrichienne.”
Grâce aux bons résultats du duo Krou/Gauthier-Rat, la paire française sera tête de série d’un groupe où l’on retrouvera les Ukrainiens et un deuxième duo tricolore, Quincy et Calvin Ayé. “Les Ayé rentrent de deux semaines de tournoi, ils ont enchaîné Espinho et Edmonton, ils se sont préparés à Rome. A Edmonton, ils perdent contre les vainqueurs du tournoi. Ils se sont bien relancés sur ce dernier tournoi”, confie Christophe Victor. A noter que les deux paires françaises pourraient ne pas s’affronter. Sur cette phase de poules, les vainqueurs des premiers matchs sont ensuite opposés pour terminer en tête du groupe et rallier directement les huitièmes de finale. Les perdants s’affrontent pour éviter l’élimination, puis les deuxièmes et troisièmes de groupes filent disputer un tour de barrage.
Dans le tableau masculin, la troisième paire tricolore est composée par Arthur Canet et Téo Rotar, qui “restent sur un très bon tournoi à Edmonton, un quart de finale en Challenger, ce qui est un très bon résultat pour ces jeunes.” Ils débuteront contre l’Estonie, et pourraient affronter ensuite les Suédois Ahman/Hellving, champions d’Europe en titre, mais qui sortent de deux mois sans jouer en raison d’une blessure. Dans l’ensemble, de nombreuses paires du Top 10 ont connu des pépins physiques ces dernières semaines, ou ont dû remanier leurs équipes, comme les Français, mais aussi les Tchèques ou les Polonais. Cela promet “une compétition assez dense, mais ouverte”, selon Christophe Victor.
Chez les filles, Lézana Placette et Alexia Richard seront les représentantes tricolores. Elles restent également sur une cinquième place en Challenger, et sortent d’un stage de préparation. Pour elles, l’objectif sera “d’aller chercher un quart ou une demi-finale. Chez les filles, le niveau est plus faible qu’en World Tour, où les Brésiliennes et les Américaines dominent. Il y aura des portes ouvertes”, estime Christophe Victor.
“Youssef Krou s’est blessé sur le dernier match à Montréal, et ne pouvait pas jouer cet Euro. Et comme Julien Lyneel n’était pas complètement prêt, on a fait le choix d’associer Rémi Bassereau et Arnaud Gauthier-Rat, explique Christophe Victor, responsable du secteur beach-volley à la Fédération Française de Volley. C’est dommage, car c’était la première fois qu’on qualifiait quatre équipes, on était la seule nation à le faire sur ce tournoi avec les Pays-Bas, c’est important comme résultat, ça montre le travail effectué et l’homogénéité de cette équipe de France.” Pour Rémi Bassereau et Arnaud Gauthier-Rat, le but sera de rapidement trouver ses marques. “Il faut arriver créer la surprise avec trois séances d’entraînement dans les jambes. Mais ils ont des qualités en bloc-défense, et ils ont plaisir à jouer ensemble. On saura assez vite, puisqu’ils débutent sur le central contre une paire autrichienne.”
Grâce aux bons résultats du duo Krou/Gauthier-Rat, la paire française sera tête de série d’un groupe où l’on retrouvera les Ukrainiens et un deuxième duo tricolore, Quincy et Calvin Ayé. “Les Ayé rentrent de deux semaines de tournoi, ils ont enchaîné Espinho et Edmonton, ils se sont préparés à Rome. A Edmonton, ils perdent contre les vainqueurs du tournoi. Ils se sont bien relancés sur ce dernier tournoi”, confie Christophe Victor. A noter que les deux paires françaises pourraient ne pas s’affronter. Sur cette phase de poules, les vainqueurs des premiers matchs sont ensuite opposés pour terminer en tête du groupe et rallier directement les huitièmes de finale. Les perdants s’affrontent pour éviter l’élimination, puis les deuxièmes et troisièmes de groupes filent disputer un tour de barrage.
Dans le tableau masculin, la troisième paire tricolore est composée par Arthur Canet et Téo Rotar, qui “restent sur un très bon tournoi à Edmonton, un quart de finale en Challenger, ce qui est un très bon résultat pour ces jeunes.” Ils débuteront contre l’Estonie, et pourraient affronter ensuite les Suédois Ahman/Hellving, champions d’Europe en titre, mais qui sortent de deux mois sans jouer en raison d’une blessure. Dans l’ensemble, de nombreuses paires du Top 10 ont connu des pépins physiques ces dernières semaines, ou ont dû remanier leurs équipes, comme les Français, mais aussi les Tchèques ou les Polonais. Cela promet “une compétition assez dense, mais ouverte”, selon Christophe Victor.
Chez les filles, Lézana Placette et Alexia Richard seront les représentantes tricolores. Elles restent également sur une cinquième place en Challenger, et sortent d’un stage de préparation. Pour elles, l’objectif sera “d’aller chercher un quart ou une demi-finale. Chez les filles, le niveau est plus faible qu’en World Tour, où les Brésiliennes et les Américaines dominent. Il y aura des portes ouvertes”, estime Christophe Victor.