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23/06/2023
VNL : Les Bleus ont besoin de gagner
Dominée 3-1 mercredi par l’Argentine, l’équipe de France retrouve vendredi soir (21h) le CO’Met d’Orléans avec une opposition face à Cuba que les hommes d’Andrea Giani veulent absolument remporter pour repartir de l’avant.
Sortis déçus de leur premier match officiel devant leur public depuis leur titre olympique, les joueurs de l’équipe de France n’en restaient pas moins lucides sur ce qu’il leur avait manqué pour davantage contrarier une équipe d’Argentine bien lancée dans la compétition. "Du rythme", a martelé après la rencontre le sélectionneur Andrea Giani qui, après avoir emmené à Nagoya lors de la première poule de la Volleyball Nations League (une victoire, trois défaites) un groupe composé essentiellement de jeunes et de revenants, a récupéré à Orléans son noyau dur (sans toutefois Earvin Ngapeth, Benjamin Toniutti et Nicolas Le Goff), mais a disposé de peu de temps pour préparer la poule 4 disputée de mercredi à dimanche dans la préfecture du Loiret.
Ce qui explique en partie la nette baisse physique constatée mercredi dans les deux derniers sets, avec à la clé beaucoup de fautes au service et même dans le jeu "qu’on ne fait pas d’habitude", soulignait après la rencontre le passeur et capitaine Antoine Brizard. Faut-il pour autant s’attendre à voir les Bleus bien plus fringants ce vendredi soir pour le deuxième de leurs quatre matchs au CO’Met face à Cuba ? "On n’a pas de temps", soufflait mercredi Andrea Giani, tandis qu’à ses côtés, Jenia Grebennikov rappelait que la Volleyball Nations League, si elle est chère aux Bleus qui en sont les tenants du titre, est vue cette saison avant tout comme une compétition de travail en vue de l’objectif principal, l’EuroVolley 2023.
Reste que pour travailler dans la sérénité, c’est mieux de gagner, ce que les coéquipiers de Kevin Tillie vont s’attacher à faire ce soir face à une équipe cubaine qui n’a pour l’instant remporté qu’une rencontre (3-2 contre le Brésil) depuis le début de la compétition et en a perdu cinq. Une formation loin d’être inconnue en France, puisque ses fers de lance offensifs sont passées par la Ligue A et particulièrement par Chaumont ces quatre dernières années, à savoir le pointu Jesus Jaime Herrera (aujourd’hui à Pérouse), les réceptionneurs/attaquants Marlon Yant (qui évolue avec Barthélémy Chinenyeze à la Lube Civitanova) et Osniel Melgajero (partenaire de Jean Patry à Milan), tandis que le central Javier Concepcion joue de son côté à Poitiers.
Autant dire que les atouts de Cuba sont connus - "une équipe qui peut être très dangereuse si elle est dans un bon jour au service et en attaque, avec des attaquants qui ont de très grosse capacités", expliquait en début de semaine l’entraîneur adjoint des Bleus, Loïc Geiler -, reste à en déjouer ses pièges pour l’équipe de France qui, devant son public, a besoin de débloquer son compteur de victoires avant le double affrontement du week-end face au Canada (deux victoires-cinq défaites à ce jour) puis au Brésil (quatre victoires-deux défaites).
Ce qui explique en partie la nette baisse physique constatée mercredi dans les deux derniers sets, avec à la clé beaucoup de fautes au service et même dans le jeu "qu’on ne fait pas d’habitude", soulignait après la rencontre le passeur et capitaine Antoine Brizard. Faut-il pour autant s’attendre à voir les Bleus bien plus fringants ce vendredi soir pour le deuxième de leurs quatre matchs au CO’Met face à Cuba ? "On n’a pas de temps", soufflait mercredi Andrea Giani, tandis qu’à ses côtés, Jenia Grebennikov rappelait que la Volleyball Nations League, si elle est chère aux Bleus qui en sont les tenants du titre, est vue cette saison avant tout comme une compétition de travail en vue de l’objectif principal, l’EuroVolley 2023.
Reste que pour travailler dans la sérénité, c’est mieux de gagner, ce que les coéquipiers de Kevin Tillie vont s’attacher à faire ce soir face à une équipe cubaine qui n’a pour l’instant remporté qu’une rencontre (3-2 contre le Brésil) depuis le début de la compétition et en a perdu cinq. Une formation loin d’être inconnue en France, puisque ses fers de lance offensifs sont passées par la Ligue A et particulièrement par Chaumont ces quatre dernières années, à savoir le pointu Jesus Jaime Herrera (aujourd’hui à Pérouse), les réceptionneurs/attaquants Marlon Yant (qui évolue avec Barthélémy Chinenyeze à la Lube Civitanova) et Osniel Melgajero (partenaire de Jean Patry à Milan), tandis que le central Javier Concepcion joue de son côté à Poitiers.
Autant dire que les atouts de Cuba sont connus - "une équipe qui peut être très dangereuse si elle est dans un bon jour au service et en attaque, avec des attaquants qui ont de très grosse capacités", expliquait en début de semaine l’entraîneur adjoint des Bleus, Loïc Geiler -, reste à en déjouer ses pièges pour l’équipe de France qui, devant son public, a besoin de débloquer son compteur de victoires avant le double affrontement du week-end face au Canada (deux victoires-cinq défaites à ce jour) puis au Brésil (quatre victoires-deux défaites).
Les 14 joueurs retenus pour Orléans (entre parenthèses, les clubs de la saison 2022/2023) :
Passeurs : Kellian Motta Paes (Paris), Antoine Brizard (Piacenza, Italie)
Réceptionneurs/attaquants : Kévin Tillie (Varsovie, Pologne), Trévor Clevenot (Jastrzebski Wegiel, Pologne), Yacine Louati (Fenerbahçe, Turquie), Timothée Carle (Berlin, Allemagne)
Pointus : Jean Patry (Milan, Italie), Stephen Boyer (Jastrzebski Wegiel, Pologne)
Centraux : Quentin Jouffroy (Narbonne), Daryl Bultor (Tourcoing), François Huetz (Nantes), Barthélémy Chinenyeze (Civitanova, Italie)
Libéros : Jenia Grebennikov (Zénith Saint-Pétersbourg, Russie), Benjamin Diez (Tours)
Le programme des Bleus à Orléans :
Mercredi 21 juin, 21h : Argentine / France 1-3 (25-22, 24-26, 20-25, 20-25) Les stats
Vendredi 23 juin, 21h : France / Cuba
Samedi 24 juin, 21h : Canada / France
Dimanche 25 juin, 17h30 : Brésil / France