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Photo : CEV
14/06/2023
Golden League : Les Bleues au défi de l’Ukraine
Après sa victoire contre la Hongrie samedi dernier, l’équipe de France féminine poursuit la Golden League européenne ce mercredi en affrontant l’Ukraine en Roumanie.
Un match à quitte ou double ! Avec une défaite puis une victoire contre la Hongrie, à chaque fois en quatre sets, l’équipe de France féminine reste en course pour viser la tête de la poule C de la Golden League européenne, qualificative pour les demi-finales. Mais si elle veut atteindre le dernier carré de cette compétition dont elle est la tenante du titre, la formation d’Emile Rousseaux doit sortir victorieuse de la double confrontation qui l’oppose à l’Ukraine, ce mercredi à Pietra Neamt (17h, heure française) puis dimanche au Phare de Belfort (15h).
L’Ukraine a en effet remporté ses deux matchs face à la Hongrie (3-1 à chaque fois), une victoire lui suffit sur l’un de ses deux contre la France pour assurer la première place de la poule. Autant dire que pour empêcher dès ce mercredi leurs adversaires d’accéder au dernier carré, les Bleues vont devoir sortir leur meilleur volley, elles qui ont affiché samedi dernier à Budapest de nets progrès par rapport à leur revers initial concédé une semaine plus tôt à Metz, avec un groupe qui n’a rien lâché et a affiché une belle complémentarité entre ses éléments offensifs (Lucille Gicquel, Halimatou Bah, Amélie Rotar puis Guewe Diouf entrée en jeu) et un bloc bien en place, avec Amandha Sylves, Eva Elouga et Isaline Sager-Weider.
"L’Ukraine a gagné deux fois 3-1 contre la Hongrie, on sent, au regard du contexte international, des joueuses très fières, qui ne lâchent rien, défendent leur peau sur tous les ballons, commente Félix André, entraîneur adjoint de l'équipe de France. Il y a beaucoup de combativité et d’agressivité dans leur jeu, notamment au service, ce sont des joueuses très physiques, à l'image de leur pointue qui possède un grand gabarit sur lequel elle joue beaucoup (Anastasiia Kraiduba, 27 points lors de la deuxième opposition face à la Hongrie). C'est aussi une équipe hybride entre expérience et jeunesse. Ça va être un match compliqué pour nous, mais intéressant à jouer car il va falloir s'adapter à ce style dejeu plus athlétique, les joueuses vont devoir être conséquentes sur leur capacité à gérer la réception et le side-out."
Autant de dangers potentiels pour une équipe de France dont l’objectif sur cette troisième rencontre de poule en Roumanie est de poursuivre sa progression et sa montée en puissance vers la Challenger Cup, le grand rendez-vous qui l’attend fin juillet à Laval, qualificatif pour la Volleyball Nations League 2024.
L’Ukraine a en effet remporté ses deux matchs face à la Hongrie (3-1 à chaque fois), une victoire lui suffit sur l’un de ses deux contre la France pour assurer la première place de la poule. Autant dire que pour empêcher dès ce mercredi leurs adversaires d’accéder au dernier carré, les Bleues vont devoir sortir leur meilleur volley, elles qui ont affiché samedi dernier à Budapest de nets progrès par rapport à leur revers initial concédé une semaine plus tôt à Metz, avec un groupe qui n’a rien lâché et a affiché une belle complémentarité entre ses éléments offensifs (Lucille Gicquel, Halimatou Bah, Amélie Rotar puis Guewe Diouf entrée en jeu) et un bloc bien en place, avec Amandha Sylves, Eva Elouga et Isaline Sager-Weider.
"L’Ukraine a gagné deux fois 3-1 contre la Hongrie, on sent, au regard du contexte international, des joueuses très fières, qui ne lâchent rien, défendent leur peau sur tous les ballons, commente Félix André, entraîneur adjoint de l'équipe de France. Il y a beaucoup de combativité et d’agressivité dans leur jeu, notamment au service, ce sont des joueuses très physiques, à l'image de leur pointue qui possède un grand gabarit sur lequel elle joue beaucoup (Anastasiia Kraiduba, 27 points lors de la deuxième opposition face à la Hongrie). C'est aussi une équipe hybride entre expérience et jeunesse. Ça va être un match compliqué pour nous, mais intéressant à jouer car il va falloir s'adapter à ce style dejeu plus athlétique, les joueuses vont devoir être conséquentes sur leur capacité à gérer la réception et le side-out."
Autant de dangers potentiels pour une équipe de France dont l’objectif sur cette troisième rencontre de poule en Roumanie est de poursuivre sa progression et sa montée en puissance vers la Challenger Cup, le grand rendez-vous qui l’attend fin juillet à Laval, qualificatif pour la Volleyball Nations League 2024.
Programme et résultats des Bleues dans la poule C de la Golden League européenne :
Dimanche 4 juin, Metz Saint-Symphorien : France/Hongrie 1-3 (20-25, 25-19, 22-25, 23-25)
Samedi 10 juin, Budapest : Hongrie/France 1-3 (20-25, 25-14, 15-25, 22-25)
Mercredi 14 juin, Piatra Neamt (Roumanie, 17h) : Ukraine/France
Dimanche 18 juin (15h), Belfort Le Phare : France/Ukraine
Les 14 joueuses pour la Golden League :
Réceptionneuses-Attaquantes : Halimatou Bah (Chamalières), Sabine Haewegene (Chamalières), Leia Ratahiry (Nantes), Amélie Rotar (Béziers)
Centrales: Eva Elouga (Chamalières), Léandra Olinga Andela, (Mulhouse) Isaline Sager-Weider (Nantes), Amandha Sylves (Florence, Italie)
Pointues : Guewe Diouf (Chamalières), Lucille Gicquel (Cuneo, Italie)
Passeuses : Emilie Respaut (Nantes), Nina Stojiljkovic (Calcit Kamnik, Slovénie)
Libéros : Juliette Gelin (Cannes), Amandine Giardino (Pays d’Aix Venelles)
Le staff : Emile Rousseaux (entraîneur), Félix André, Romain Pitou et Charles Gauthier (entraîneurs adjoints), Pablo Griboff (préparateur physique), Steven Plateau (statisticien), Thomas Thuet et Marc Quémener (médecin), Thibaut Hoffner et Thierry Martin (kinés), Christian Penigaud (préparateur mental), Manu Fouchet (manager)
Réceptionneuses-Attaquantes : Halimatou Bah (Chamalières), Sabine Haewegene (Chamalières), Leia Ratahiry (Nantes), Amélie Rotar (Béziers)
Centrales: Eva Elouga (Chamalières), Léandra Olinga Andela, (Mulhouse) Isaline Sager-Weider (Nantes), Amandha Sylves (Florence, Italie)
Pointues : Guewe Diouf (Chamalières), Lucille Gicquel (Cuneo, Italie)
Passeuses : Emilie Respaut (Nantes), Nina Stojiljkovic (Calcit Kamnik, Slovénie)
Libéros : Juliette Gelin (Cannes), Amandine Giardino (Pays d’Aix Venelles)
Le staff : Emile Rousseaux (entraîneur), Félix André, Romain Pitou et Charles Gauthier (entraîneurs adjoints), Pablo Griboff (préparateur physique), Steven Plateau (statisticien), Thomas Thuet et Marc Quémener (médecin), Thibaut Hoffner et Thierry Martin (kinés), Christian Penigaud (préparateur mental), Manu Fouchet (manager)
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