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25/07/2023
Beach-Euro U22 : Altwies et Chouikh-Barbez ambitieux
Sacrés vice-champions de France dimanche dernier à Saint-Laurent-du-Var, Tom Altwies et Elouan Chouikh-Barbez débutent dès mercredi le championnat d’Europe U22, à Timisora (Roumanie), avec l'objectif de monter sur le podium.
Pas le temps de souffler ! Dans la foulée du championnat de France à Saint-Laurent-du-Var, où ils ont décroché la médaille d’argent, Tom Altwies et Elouan Chouikh-Barbez ont pris la direction de Timisoara, en Roumanie, où se tient cette semaine le championnat d’Europe U22. Pour leur dernier tournoi dans les catégories de jeunes, les deux Français arrivent avec de l’ambition, eux qui ont réalisé un début de saison exceptionnel, parsemé de victoires: un tournoi Wevza sur le sable de l’île de Ré, le Futures de Lille sur le Beach Pro Tour, et pas moins de trois étapes du circuit France Beach Volley Series 1.
"Ils font une bonne saison, ils réussissent ce qu’on attendait d’eux, mais ils y sont parvenus très tôt dans la saison, c’est cela qui nous a surpris, explique leur entraîneur David Martin. Ils ont enchaîné dès le début avec cinq victoires de suite en tournoi, c’est exceptionnel. Mais les échéances les plus importantes pour eux, elles ont lieu en ce moment : il s’agit du championnat de France, où ils ont terminé deuxième, et de ce championnat d’Europe, qui démarre mercredi."
A Timisoara, Tom Altwies et Elouan Chouikh-Barbez ont pour objectif de ramener une nouvelle médaille dans leurs valises, mais ils ne sont pas les seuls à pouvoir afficher de telles ambitions. "Ce championnat d’Europe espoirs est le plus fort que j’ai vu depuis que j’entraîne au beach, et j’entraîne depuis longtemps, confie David Martin. Il y a près d’une dizaine d’équipes qui peuvent l'emporter, avec de nombreuses équipes qui ont gagné des tournois Futures ou qui ont fait des podiums. Ce sera très relevé."
La bataille commencera dès la phase de groupe, puisque les Français ont hérité d’un menu plutôt corsé. "On va affronter les Autrichiens, champions d’Europe U20 en titre, les Néerlandais, avec Sengers qui est un habitué des podiums sur les Futures, et une paire roumaine en quatrième équipe. C’est déjà une poule très forte", estime leur entraîneur.
Pour Tom Altwies et Elouan Chouikh-Barbez, il faudra donc très vite rentrer dans le vif du sujet, en laissant derrière le souvenir de cette défaite en finale à Saint-Laurent-du-Var, pas évidente à digérer pour un binôme qui voulait l’or. "Ils sont un peu déçus, forcément, pas de leur tournoi, mais de leur finale, explique David Martin. Il y a un peu de fatigue dans les jambes, mais ils ont soif de revanche, et envie d’aller en découdre."
"Ils font une bonne saison, ils réussissent ce qu’on attendait d’eux, mais ils y sont parvenus très tôt dans la saison, c’est cela qui nous a surpris, explique leur entraîneur David Martin. Ils ont enchaîné dès le début avec cinq victoires de suite en tournoi, c’est exceptionnel. Mais les échéances les plus importantes pour eux, elles ont lieu en ce moment : il s’agit du championnat de France, où ils ont terminé deuxième, et de ce championnat d’Europe, qui démarre mercredi."
A Timisoara, Tom Altwies et Elouan Chouikh-Barbez ont pour objectif de ramener une nouvelle médaille dans leurs valises, mais ils ne sont pas les seuls à pouvoir afficher de telles ambitions. "Ce championnat d’Europe espoirs est le plus fort que j’ai vu depuis que j’entraîne au beach, et j’entraîne depuis longtemps, confie David Martin. Il y a près d’une dizaine d’équipes qui peuvent l'emporter, avec de nombreuses équipes qui ont gagné des tournois Futures ou qui ont fait des podiums. Ce sera très relevé."
La bataille commencera dès la phase de groupe, puisque les Français ont hérité d’un menu plutôt corsé. "On va affronter les Autrichiens, champions d’Europe U20 en titre, les Néerlandais, avec Sengers qui est un habitué des podiums sur les Futures, et une paire roumaine en quatrième équipe. C’est déjà une poule très forte", estime leur entraîneur.
Pour Tom Altwies et Elouan Chouikh-Barbez, il faudra donc très vite rentrer dans le vif du sujet, en laissant derrière le souvenir de cette défaite en finale à Saint-Laurent-du-Var, pas évidente à digérer pour un binôme qui voulait l’or. "Ils sont un peu déçus, forcément, pas de leur tournoi, mais de leur finale, explique David Martin. Il y a un peu de fatigue dans les jambes, mais ils ont soif de revanche, et envie d’aller en découdre."