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06/09/2021
Parés pour le choc
Après deux victoires 3-0 contre la Slovaquie et la Croatie, l’équipe de France affronte ce soir à Tallin pour son troisième match de l’EuroVolley une équipe d’Allemagne qui reste elle aussi sur deux succès 3-0. Une belle affiche sans doute décisive pour la première place de la poule D.
Leur entame de tournoi réussie, les joueurs de l’équipe de France avancent avec confiance dans une poule D qui met sur leur route ce soir, toujours dans la Saku Suurhall de Tallinn, une équipe d’Allemagne elle aussi bien rentrée dans la compétition, en témoignent ses deux victoires en trois manches face à la Croatie et, dimanche, contre l’Estonie de Cédric Enard. La Mannshaft, toujours dirigée par la légende italienne Andrea Gianni, fait partie des formations qui n’étaient pas présentes aux Jeux Olympiques et qui ont donc eu le temps de spécifiquement préparer cet EuroVolley, ce qui se voit pour l'instant.
"L’Allemagne joue bien depuis le début du tournoi, ils imposent leur physique, ils mettent une grosse pression au physique et au bloc, ils ont fait craquer l’Estonie à tous les sets alors que l’Estonie a souvent mené, Grozer est bien là, Zimmermann remplace bien Kampa à la passe, ça va être dur", analyse le passeur tricolore Antoine Brizard. Dur mais pas impossible pour une équipe de France qui, depuis sa défaite lors du match pour la troisième place du Mondial 2014, a toujours battu l'Allemagne, les deux dernières fois en finale du Tournoi de qualification olympique de Berlin (3-0) et lors de la Volleyball Nations League en mai dernier à Rimini (3-2).
Les Bleus, du haut de leur statut de champions olympiques, sont-ils pour autant favoris de ce choc dont le vainqueur a de bonnes chances de faire un pas important vers la première place de la poule D ? "On a fait un exploit énorme à Tokyo, on est champions olympiques et ça restera à vie, il faut assumer ce statut, après, on sait très bien qu’on peut perdre contre n’importe qui, parce que le volley est hyper dense, c’est dur à tous les matchs et ça va très vite", poursuit Antoine Brizard.
Son coéquipier Jean Patry, très en jambes depuis l'entame de la compétition, estime quant à lui que les Tricolores ne doivent pas se faire une montagne de cet affrontement contre les partenaires du surpuissant György Grozer et du métronome Christian Fromm, les deux armes offensives de la Mannschaft. "Je ne sais pas si on peut parler de test, je ne pense pas qu’on en ait besoin. Il ne faut pas se mettre la pression en se disant que ça va être un match différent des autres ; certes, c’est un niveau au-dessus de ce qu’on a affronté jusqu’à présent, mais il ne faut pas l’aborder d’une autre manière, il faudra mettre la même application." Une méthode qui, pour l’instant, a souri à ces Bleus sérieux et déterminés…
"L’Allemagne joue bien depuis le début du tournoi, ils imposent leur physique, ils mettent une grosse pression au physique et au bloc, ils ont fait craquer l’Estonie à tous les sets alors que l’Estonie a souvent mené, Grozer est bien là, Zimmermann remplace bien Kampa à la passe, ça va être dur", analyse le passeur tricolore Antoine Brizard. Dur mais pas impossible pour une équipe de France qui, depuis sa défaite lors du match pour la troisième place du Mondial 2014, a toujours battu l'Allemagne, les deux dernières fois en finale du Tournoi de qualification olympique de Berlin (3-0) et lors de la Volleyball Nations League en mai dernier à Rimini (3-2).
Les Bleus, du haut de leur statut de champions olympiques, sont-ils pour autant favoris de ce choc dont le vainqueur a de bonnes chances de faire un pas important vers la première place de la poule D ? "On a fait un exploit énorme à Tokyo, on est champions olympiques et ça restera à vie, il faut assumer ce statut, après, on sait très bien qu’on peut perdre contre n’importe qui, parce que le volley est hyper dense, c’est dur à tous les matchs et ça va très vite", poursuit Antoine Brizard.
Son coéquipier Jean Patry, très en jambes depuis l'entame de la compétition, estime quant à lui que les Tricolores ne doivent pas se faire une montagne de cet affrontement contre les partenaires du surpuissant György Grozer et du métronome Christian Fromm, les deux armes offensives de la Mannschaft. "Je ne sais pas si on peut parler de test, je ne pense pas qu’on en ait besoin. Il ne faut pas se mettre la pression en se disant que ça va être un match différent des autres ; certes, c’est un niveau au-dessus de ce qu’on a affronté jusqu’à présent, mais il ne faut pas l’aborder d’une autre manière, il faudra mettre la même application." Une méthode qui, pour l’instant, a souri à ces Bleus sérieux et déterminés…