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27/05/2021
VNL : Rimini en pensant à Tokyo
L’équipe de France attaque vendredi matin l’édition 2021 de la Volleyball Nations League dans la bulle sanitaire de Rimini (Italie) par un premier match face à la Bulgarie (10h). Pour les Bleus de Laurent Tillie, la priorité de cette compétition est de préparer le grand objectif de la saison, les Jeux Olympiques de Tokyo.
Après seize mois sans le moindre match, l’équipe de France masculine renoue avec la compétition vendredi matin avec le premier des quinze matchs de poule de la Volleyball Nations League, contre la Bulgarie, 14e au classement mondial, emmenée par sa star Tsvetan Sokolov et toujours dirigée par l’entraîneur italien de Chaumont, Silvano Prandi. Les Bleus enchaîneront, toujours au même horaire matinal (10h), samedi face à l’Allemagne, 21e nation mondiale, qu’ils avaient battue en finale de leur dernière compétition, le Tournoi de qualification olympique, en janvier 2020 à Berlin, puis dimanche contre l’Australie, 15e au classement de la FIVB.
Une Volleyball Nations League au format particulier cette année, puisque, pandémie oblige, elle se déroule intégralement au même endroit, dans la bulle sanitaire Rimini (Italie), où les 16 nations en lice vont avoir le droit a minima à quatre semaines de compétition, un peu plus pour celles qui iront jusqu’au bout, à savoir les quatre équipes les mieux classées à l’issue de la phase de poule (chaque équipe joue 15 matchs), qui disputeront demi-finales et finales les 26 et 27 juin.
Finalistes de la première Volleyball Nations League (qui a succédé à la Ligue Mondiale) en 2018 à Lille, encore qualifiés l’année suivante pour le Final Six (6e au classement final à Chicago), les protégés de Laurent Tillie abordent cette troisième édition (celle de 2020 a été annulée) avant tout comme une compétition de travail en vue des Jeux Olympiques de Tokyo, qui démarreront un peu moins d’un mois après la finale de la VNL (leur premier match est programmé le 24 juillet face aux Etats-Unis).
"L’idée est de préparer les Jeux Olympiques à travers la VNL, ça veut dire que chaque match va nous servir à travailler physiquement et techniquement et qu’on va faire du turn-over pour ne pas cramer les joueurs. Maintenant, comme on n’aime pas trop perdre, on va essayer d’obtenir les meilleurs résultats possibles, car même dans le travail, l’objectif, c’est de gagner", confirme Laurent Tillie. Qui a emmené un groupe élargi de 18 joueurs à Rimini, dans lequel figurent 4 nouveaux, le passeur nantais Léo Meyer, le central narbonnais Mousse Gueye (qui jouera à Chaumont la saison prochaine), le pointu toulousain Théo Faure (futur Montpelliérain) et le libéro parisien Benjamin Diez.
"On sera peut-être un peu en retard sur le début de VNL, ce qui est important c’est de voir l’évolution entre le premier et le quinzième match pour avoir des certitudes en arrivant aux JO", explique de son côté le capitaine et passeur Benjamin Toniutti, vainqueur cette saison de la Ligue des champions avec son club polonais de Kedzierzyn-Kozle.
Adjoint de Laurent Tillie lors de cette VNL, dont le double tenant est la Russie, l’ancien passeur international Loïc Le Marrec ajoute, à propos de l’objectif à Rimini : "La VNL tombe à point nommé, parce que quoi de mieux pour préparer les Jeux que de s’habituer à gagner des matchs ? Gagner, c’est une culture, donc à travers ce travail et cette préparation, la VNL reste importante."
Cette culture de la gagne, Laurent Tillie l’a inculquée à ses joueurs depuis ses débuts sur le banc tricolore en 2012, nul doute que ces derniers, même dans le contexte particulier de cette VNL 2021, feront tout pour continuer à l’entretenir. Premier élément de réponse vendredi contre des Bulgares qui, lors de leur dernière confrontation, les avaient dominés 3-2 en phase de poule du TQO de Berlin, Earvin Ngapeth, Kevin Tillie, Théo Faure et Léo Meyer étant les 4 joueurs mis au repos pour ce premier match.
Une Volleyball Nations League au format particulier cette année, puisque, pandémie oblige, elle se déroule intégralement au même endroit, dans la bulle sanitaire Rimini (Italie), où les 16 nations en lice vont avoir le droit a minima à quatre semaines de compétition, un peu plus pour celles qui iront jusqu’au bout, à savoir les quatre équipes les mieux classées à l’issue de la phase de poule (chaque équipe joue 15 matchs), qui disputeront demi-finales et finales les 26 et 27 juin.
Finalistes de la première Volleyball Nations League (qui a succédé à la Ligue Mondiale) en 2018 à Lille, encore qualifiés l’année suivante pour le Final Six (6e au classement final à Chicago), les protégés de Laurent Tillie abordent cette troisième édition (celle de 2020 a été annulée) avant tout comme une compétition de travail en vue des Jeux Olympiques de Tokyo, qui démarreront un peu moins d’un mois après la finale de la VNL (leur premier match est programmé le 24 juillet face aux Etats-Unis).
"L’idée est de préparer les Jeux Olympiques à travers la VNL, ça veut dire que chaque match va nous servir à travailler physiquement et techniquement et qu’on va faire du turn-over pour ne pas cramer les joueurs. Maintenant, comme on n’aime pas trop perdre, on va essayer d’obtenir les meilleurs résultats possibles, car même dans le travail, l’objectif, c’est de gagner", confirme Laurent Tillie. Qui a emmené un groupe élargi de 18 joueurs à Rimini, dans lequel figurent 4 nouveaux, le passeur nantais Léo Meyer, le central narbonnais Mousse Gueye (qui jouera à Chaumont la saison prochaine), le pointu toulousain Théo Faure (futur Montpelliérain) et le libéro parisien Benjamin Diez.
"On sera peut-être un peu en retard sur le début de VNL, ce qui est important c’est de voir l’évolution entre le premier et le quinzième match pour avoir des certitudes en arrivant aux JO", explique de son côté le capitaine et passeur Benjamin Toniutti, vainqueur cette saison de la Ligue des champions avec son club polonais de Kedzierzyn-Kozle.
Adjoint de Laurent Tillie lors de cette VNL, dont le double tenant est la Russie, l’ancien passeur international Loïc Le Marrec ajoute, à propos de l’objectif à Rimini : "La VNL tombe à point nommé, parce que quoi de mieux pour préparer les Jeux que de s’habituer à gagner des matchs ? Gagner, c’est une culture, donc à travers ce travail et cette préparation, la VNL reste importante."
Cette culture de la gagne, Laurent Tillie l’a inculquée à ses joueurs depuis ses débuts sur le banc tricolore en 2012, nul doute que ces derniers, même dans le contexte particulier de cette VNL 2021, feront tout pour continuer à l’entretenir. Premier élément de réponse vendredi contre des Bulgares qui, lors de leur dernière confrontation, les avaient dominés 3-2 en phase de poule du TQO de Berlin, Earvin Ngapeth, Kevin Tillie, Théo Faure et Léo Meyer étant les 4 joueurs mis au repos pour ce premier match.