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28/07/2024
Chamereau/Vieira battues mais heureuses
Premières Françaises à entrer en lice dans la compétition de beach-volley dimanche au stade Tour Eiffel, Aline Chamereau et Clémence Vieira se sont inclinées en deux sets contre les Allemandes Svenja Müller et Cinja Tillmann. Mais les deux Françaises ont adoré l’ambiance.
Après deux jours de pluie, le soleil a fait son apparition ce dimanche sur Paris, offrant le magnifique spectacle d’un stade Tour Eiffel baigné de lumière, au pied de la Tour Eiffel, avec en ligne de mire le Trocadéro et un ciel d’un bleu éclatant. C’est dans ce décor féérique que le duo Aline Chamereau/Clémence Vieira a entamé son tournoi olympique, acclamé à son entrée sur le terrain par 12 000 spectateurs aussi chauds qu’enthousiastes.
"L’ambiance était absolument incroyable, racontera après le match la première. Déjà à la chauffe, on entendait le public, les « Allez les Bleus ! », ça donnait des frissons partout. Et quand on est entrées sur le terrain, j’ai vraiment eu la chair de poule. C’était aussi incroyable pendant le match de se laisser porter par l’énergie. Là où normalement, c’est nous avec Clem’ qui devons toujours insuffler cette énergie, crier, là, il suffisait qu’on lève une main pour que tout le public s’ambiance. Ça fait vraiment plaisir d’enfin s’exprimer devant le public français et devant autant de monde, ça ne nous était jamais arrivé, on est trop heureuses."
Trop heureuses, mais battues puisque les Tricolores se sont logiquement inclinées en deux sets (21-14, 21-12) face aux n°9 mondiales, les Allemandes Svenja Müller et Cinja Tillmann, arrivées à Paris avec le plein de confiance, puisqu’elles avaient remporté le dernier tournoi du Beach Pro Tour disputé avant les Jeux, l’Elite 16 de Vienne. Ces dernières se sont montrées supérieures dans tous les compartiments du jeu, avec une qualité de service qui a souvent mis leurs rivales sur le reculoir et une bonne variété offensive que les Bleues ont eu du mal à contrôler, en particulier sur les attaques de la grande Svenja Müller (1,92 m).
"Au début, on était un peu crispées, on n’a pas réussi à se relâcher et à montrer notre meilleur jeu, mais il y avait aussi une grosse équipe en face", analyse Clémence Vieira, tandis que sa coéquipière ajoute : "Je pense qu’on a manqué un peu de relâchement à certains moments, mais c’est une équipe du top 10 mondial, elles sont mieux classées que nous, il aurait vraiment fallu livrer une grosse performance pour les battre, malheureusement, ça n’a pas été possible."
Prochain rendez-vous pour les n°2 tricolores, mercredi après-midi contre les Américaines Sarah Hughes/Kelly Cheng, championnes du monde en titre et n°5 au classement mondial. "On ne les a jamais jouées, c’est vraiment une chance de pouvoir se confronter à ce genre de niveau de jeu, on va tout donner, et tout peut arriver, surtout avec la magie du public", conclut Aline Chamereau dans un large sourire.
"L’ambiance était absolument incroyable, racontera après le match la première. Déjà à la chauffe, on entendait le public, les « Allez les Bleus ! », ça donnait des frissons partout. Et quand on est entrées sur le terrain, j’ai vraiment eu la chair de poule. C’était aussi incroyable pendant le match de se laisser porter par l’énergie. Là où normalement, c’est nous avec Clem’ qui devons toujours insuffler cette énergie, crier, là, il suffisait qu’on lève une main pour que tout le public s’ambiance. Ça fait vraiment plaisir d’enfin s’exprimer devant le public français et devant autant de monde, ça ne nous était jamais arrivé, on est trop heureuses."
Trop heureuses, mais battues puisque les Tricolores se sont logiquement inclinées en deux sets (21-14, 21-12) face aux n°9 mondiales, les Allemandes Svenja Müller et Cinja Tillmann, arrivées à Paris avec le plein de confiance, puisqu’elles avaient remporté le dernier tournoi du Beach Pro Tour disputé avant les Jeux, l’Elite 16 de Vienne. Ces dernières se sont montrées supérieures dans tous les compartiments du jeu, avec une qualité de service qui a souvent mis leurs rivales sur le reculoir et une bonne variété offensive que les Bleues ont eu du mal à contrôler, en particulier sur les attaques de la grande Svenja Müller (1,92 m).
"Au début, on était un peu crispées, on n’a pas réussi à se relâcher et à montrer notre meilleur jeu, mais il y avait aussi une grosse équipe en face", analyse Clémence Vieira, tandis que sa coéquipière ajoute : "Je pense qu’on a manqué un peu de relâchement à certains moments, mais c’est une équipe du top 10 mondial, elles sont mieux classées que nous, il aurait vraiment fallu livrer une grosse performance pour les battre, malheureusement, ça n’a pas été possible."
Prochain rendez-vous pour les n°2 tricolores, mercredi après-midi contre les Américaines Sarah Hughes/Kelly Cheng, championnes du monde en titre et n°5 au classement mondial. "On ne les a jamais jouées, c’est vraiment une chance de pouvoir se confronter à ce genre de niveau de jeu, on va tout donner, et tout peut arriver, surtout avec la magie du public", conclut Aline Chamereau dans un large sourire.