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16/06/2024
Nations Cup : La France décroche un second billet olympique !
Ils l'ont fait ! Les duos Julien Lyneel/Rémi Bassereau et Arnaud Gauthier-Rat/Téo Rotar ont réussi l'exploit de remporter dimanche à Jurmala la finale de la Nations Cup, vainqueurs sur le fil de l'Autriche. Une victoire qui offre à la France un deuxième quota olympique pour les Jeux de Paris 2024.
Mission accomplie pour l'équipe de France masculine de beach-volley ! Au terme d'une compétition intense de quatre jours, les Bleus de Lissandro Carvalho sont parvenus dimanche à remporter la finale de la Nations Cup et donc à décrocher le seul ticket olympique délivré au vainqueur du tournoi ! Ce qui signifie que tant chez les femmes que chez les hommes, la France présentera aux Jeux de Paris 2024 deux paires, l'objectif affiché au début de l'olympiade et une grande première pour le beach-volley tricolore.
La journée de dimanche a idéalement commencé pour les Bleus avec une quatrième victoire consécutive 2-0 - après celles contre l'Allemagne et la Lituanie en poule, puis contre la Belgique en quarts de finale - cette fois aux dépens du Portugal en demi-finales. Julien Lyneel et Rémi Bassereau ont d'abord dominé les frères Gonçalo et Tomas Sousa (21-23, 26-24, 15-8), imités dans la foulée par la paire Arnaud Gauthier-Rat/Téo Rotar qui a eu raison de Joao Pedrosa et Hugo Campos (21-18, 21-13).
Pas le temps de savourer pour les Tricolores, puisqu'il fallait aussitôt se concentrer sur la finale contre une équipe d'Autriche qui faisait partie des principales prétendantes à la victoire sur cette finale de la Nations Cup. Comme on pouvait s'y attendre, les débats ont été particulièrement serrés, avec d'abord un duel à rallonge entre les duos Julien Lyneel/Rémi Bassereau et Timo Hammarberg/Moritz Pristauz, perdu de peu par les Français, soit leur seule défaite de la compétition (28-30, 21-17, 15-11).
Dos au mur puisque contraints de gagner leur match pour aller au tie-break décisif, Arnaud Gauthier-Rat et Téo Rotar ont réussi à relever le défi en dominant, là encore à l'issue d'une rencontre très indécise, Christoph Dressler et Phillip Waller (19-21, 21-19, 15-12). La victoire finale allait donc se jouer sur un ultime golden set au meilleur des 15 points entre les deux paires choisies par les deux staffs respectifs, à savoir Arnaud Gauthier-Rat/Téo Rotar d'une part, Phillip Waller/Timo Hammarberg de l'autre. Les premiers, invaincus en cinq matchs, ont encore assumé - rappelons que Téo Rotar a remplacé au pied levé Youssef Krou, blessé au poignet juste avant la compétition -, avec une victoire 15-10 qui permet donc à la France d'envoyer une deuxième paire masculine au pied de la Tour Eiffel dans un peu plus d'un mois !
La réaction de Christophe Victor, responsable du secteur beach-volley de la FFVolley : "Cette finale aura été très intense. Julien et Rémi ont vraiment monté leur niveau de jeu sur le premier match, la victoire ne passe vraiment pas loin. Après, c'était la dernière chance, il fallait aller chercher le deuxième match puis le golden set avec Arnaud et Téo, qui ont vraiment bien géré la situation. D'abord en gagnant deux sets à un. Ensuite il y a eu un petit coup de poker de la part des Autrichiens qui ont mixé leurs deux équipes, mais Arnaud et Téo ont réussi à les prendre à la gorge d'entrée en menant 5-1 pour finalement s'imposer 15-11. Bravo à eux, car après la blessure de Youssef, ils n'ont eu que deux fois une heure d'entraînement en commun. On savait que ça pouvait le faire, ça a été dans le bon sens. On est super heureux, ça nous fait un quota olympique en plus, on aura quatre quotas en tout, avec les qualifications d'office des deux équipes indoor, ça fait un six sur six pour le volley français à Paris, c'est historique !"
La journée de dimanche a idéalement commencé pour les Bleus avec une quatrième victoire consécutive 2-0 - après celles contre l'Allemagne et la Lituanie en poule, puis contre la Belgique en quarts de finale - cette fois aux dépens du Portugal en demi-finales. Julien Lyneel et Rémi Bassereau ont d'abord dominé les frères Gonçalo et Tomas Sousa (21-23, 26-24, 15-8), imités dans la foulée par la paire Arnaud Gauthier-Rat/Téo Rotar qui a eu raison de Joao Pedrosa et Hugo Campos (21-18, 21-13).
Pas le temps de savourer pour les Tricolores, puisqu'il fallait aussitôt se concentrer sur la finale contre une équipe d'Autriche qui faisait partie des principales prétendantes à la victoire sur cette finale de la Nations Cup. Comme on pouvait s'y attendre, les débats ont été particulièrement serrés, avec d'abord un duel à rallonge entre les duos Julien Lyneel/Rémi Bassereau et Timo Hammarberg/Moritz Pristauz, perdu de peu par les Français, soit leur seule défaite de la compétition (28-30, 21-17, 15-11).
Dos au mur puisque contraints de gagner leur match pour aller au tie-break décisif, Arnaud Gauthier-Rat et Téo Rotar ont réussi à relever le défi en dominant, là encore à l'issue d'une rencontre très indécise, Christoph Dressler et Phillip Waller (19-21, 21-19, 15-12). La victoire finale allait donc se jouer sur un ultime golden set au meilleur des 15 points entre les deux paires choisies par les deux staffs respectifs, à savoir Arnaud Gauthier-Rat/Téo Rotar d'une part, Phillip Waller/Timo Hammarberg de l'autre. Les premiers, invaincus en cinq matchs, ont encore assumé - rappelons que Téo Rotar a remplacé au pied levé Youssef Krou, blessé au poignet juste avant la compétition -, avec une victoire 15-10 qui permet donc à la France d'envoyer une deuxième paire masculine au pied de la Tour Eiffel dans un peu plus d'un mois !
La réaction de Christophe Victor, responsable du secteur beach-volley de la FFVolley : "Cette finale aura été très intense. Julien et Rémi ont vraiment monté leur niveau de jeu sur le premier match, la victoire ne passe vraiment pas loin. Après, c'était la dernière chance, il fallait aller chercher le deuxième match puis le golden set avec Arnaud et Téo, qui ont vraiment bien géré la situation. D'abord en gagnant deux sets à un. Ensuite il y a eu un petit coup de poker de la part des Autrichiens qui ont mixé leurs deux équipes, mais Arnaud et Téo ont réussi à les prendre à la gorge d'entrée en menant 5-1 pour finalement s'imposer 15-11. Bravo à eux, car après la blessure de Youssef, ils n'ont eu que deux fois une heure d'entraînement en commun. On savait que ça pouvait le faire, ça a été dans le bon sens. On est super heureux, ça nous fait un quota olympique en plus, on aura quatre quotas en tout, avec les qualifications d'office des deux équipes indoor, ça fait un six sur six pour le volley français à Paris, c'est historique !"