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12/06/2017
Pau a vibré, les Bleus aussi
Deux semaines après l’effervescence de Lyon, l’équipe de France a une nouvelle fois suscité beaucoup d’engouement à l’occasion du week-end de Ligue Mondiale à Pau. Les joueurs ont apprécié, tandis que du côté de l'organisation, tout s'est également très bien passé.
Des clappings lors du Tournoi de qualification au Championnat du monde à Lyon, des Marseillaise en plein match pendant la Ligue Mondiale à Pau, l’équipe de France aura vécu de belles premières en cette fin de printemps à l’occasion de ses deux rendez-vous de la saison internationale à la maison. Les trois jours passés au Palais des Sports de Pau, antre des basketteurs de l’Elan Béarnais, auront confirmé ce que l’on avait constaté au Palais des Sports de Gerland deux semaines plus tôt : jamais, la cote d’amour de la sélection n’avait été aussi forte auprès de son public.
En trois jours, 15000 personnes, jeunes et adultes, passionnées de volley ou non, sont ainsi venues garnir les tribunes de l’enceinte paloise, non seulement pour soutenir des Tricolores désireux de poursuivre leur grand chelem en Ligue Mondiale, ce qu’ils sont parvenus à faire, mais également pour vivre un moment de fête, un aspect qui a particulièrement marqué le sélectionneur Laurent Tillie : "En plus de la magnifique communion pendant et à la fin des matchs, ce que je trouve extraordinaire, c’est que les gens viennent pour un show. Ils s’enthousiasment pour une belle attaque, un beau bloc, le match est vivant, parce que le public est acteur. Ça aide beaucoup les joueurs qui sentent ce public proche d’eux et n’ont vraiment pas envie de le décevoir."
"Aujourd’hui, l’équipe de France a un statut à la hauteur de ce qu’elle travaille et dégage"
Les intéressés, qui n’avaient notamment jamais connu des Marseillaise a capella en pleine rencontre, ont apprécié ce soutien qui les a aidés à se surpasser sur le terrain : "Contre l’Italie, le public était top, c’est grâce à lui qu’on s’en sort, souligne Nicolas Le Goff. Entre Lyon et Pau, nous avons été hyper bien accueillis et soutenus, on sent un vrai engouement, de la chaleur, ça fait vraiment plaisir." Même son de cloche chez Benjamin Toniutti : "C’est magnifique, c’est de la folie ce qui se passe en ce moment pour le volley français. Du coup, on essaie de tout donner sur le terrain pour les rendre heureux et qu’ils aient envie de revenir."
Les joueurs y mettent effectivement du leur, cette osmose étant la combinaison de l’image positive que renvoie ce groupe soudé et de résultats constants depuis trois ans qui les ont installés au sommet de la hiérarchie mondiale. "Aujourd’hui, l’équipe de France a un statut à la hauteur de ce qu’elle travaille et dégage, confirme l’ancien international franco-brésilien Rafael Redwitz, consultant pour beIN SPORTS. Cette ferveur nationale, avec du bleu blanc rouge partout, des gens en maillot qui reconnaissent les joueurs dans la rue, la télévision qui suit, est vraiment montée en puissance. C’est très valorisant et pour moi qui suis passionné par mon sport, ça fait vraiment plaisir." Le mot de la fin est pour Julien Lyneel qui résume d’une belle formule cette communion croissante entre l’équipe de France et son public : "Ça fait chaud au cœur et ça fait chaud au corps."
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250 bénévoles mobilisés. Après le succès du Tournoi de qualification au Championnat du monde à Lyon fin mai, le week-end de Ligue Mondiale à Pau aura encore été une réussite. Préparé bien en amont, depuis la signature en novembre de la convention de trois ans entre la FFVB, la ville de Pau et la Communauté d'agglomération Pau Béarn Pyrénées, l'événement a pu se dérouler dans de bonnes condititions grâce à un échange permanent entre les différentes parties impliquées dans l'organisation et à la mobilisation de la Ligue Aquitaine, du comité départemental des Pyrénées-Atlantiques et des clubs de la région qui ont fourni les 250 bénévoles qui se sont investis toute la semaine. Certains, déjà présents à Lyon, ont même proposé d'eux-mêmes de venir à Pau pour mettre la main à la pâte. 1500 jeunes des écoles du département ont par ailleurs été accueillis pendant les trois jours de compétition au Palais des Sports et ont pu profiter des animations périphériques mises en place. "Toutes les parties prenantes ont fait preuve d'un état de corps remarquable, la réussite de la Ligue Mondiale à Pau, après celle du TQCM à Lyon, est de bon augure en vue de notre objectif qui est d'accueillir le Championnat d'Europe 2019 en France", se réjouit le Directeur Général de la FFVB, Arnaud Dagorne.
En trois jours, 15000 personnes, jeunes et adultes, passionnées de volley ou non, sont ainsi venues garnir les tribunes de l’enceinte paloise, non seulement pour soutenir des Tricolores désireux de poursuivre leur grand chelem en Ligue Mondiale, ce qu’ils sont parvenus à faire, mais également pour vivre un moment de fête, un aspect qui a particulièrement marqué le sélectionneur Laurent Tillie : "En plus de la magnifique communion pendant et à la fin des matchs, ce que je trouve extraordinaire, c’est que les gens viennent pour un show. Ils s’enthousiasment pour une belle attaque, un beau bloc, le match est vivant, parce que le public est acteur. Ça aide beaucoup les joueurs qui sentent ce public proche d’eux et n’ont vraiment pas envie de le décevoir."
"Aujourd’hui, l’équipe de France a un statut à la hauteur de ce qu’elle travaille et dégage"
Les intéressés, qui n’avaient notamment jamais connu des Marseillaise a capella en pleine rencontre, ont apprécié ce soutien qui les a aidés à se surpasser sur le terrain : "Contre l’Italie, le public était top, c’est grâce à lui qu’on s’en sort, souligne Nicolas Le Goff. Entre Lyon et Pau, nous avons été hyper bien accueillis et soutenus, on sent un vrai engouement, de la chaleur, ça fait vraiment plaisir." Même son de cloche chez Benjamin Toniutti : "C’est magnifique, c’est de la folie ce qui se passe en ce moment pour le volley français. Du coup, on essaie de tout donner sur le terrain pour les rendre heureux et qu’ils aient envie de revenir."
Les joueurs y mettent effectivement du leur, cette osmose étant la combinaison de l’image positive que renvoie ce groupe soudé et de résultats constants depuis trois ans qui les ont installés au sommet de la hiérarchie mondiale. "Aujourd’hui, l’équipe de France a un statut à la hauteur de ce qu’elle travaille et dégage, confirme l’ancien international franco-brésilien Rafael Redwitz, consultant pour beIN SPORTS. Cette ferveur nationale, avec du bleu blanc rouge partout, des gens en maillot qui reconnaissent les joueurs dans la rue, la télévision qui suit, est vraiment montée en puissance. C’est très valorisant et pour moi qui suis passionné par mon sport, ça fait vraiment plaisir." Le mot de la fin est pour Julien Lyneel qui résume d’une belle formule cette communion croissante entre l’équipe de France et son public : "Ça fait chaud au cœur et ça fait chaud au corps."
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250 bénévoles mobilisés. Après le succès du Tournoi de qualification au Championnat du monde à Lyon fin mai, le week-end de Ligue Mondiale à Pau aura encore été une réussite. Préparé bien en amont, depuis la signature en novembre de la convention de trois ans entre la FFVB, la ville de Pau et la Communauté d'agglomération Pau Béarn Pyrénées, l'événement a pu se dérouler dans de bonnes condititions grâce à un échange permanent entre les différentes parties impliquées dans l'organisation et à la mobilisation de la Ligue Aquitaine, du comité départemental des Pyrénées-Atlantiques et des clubs de la région qui ont fourni les 250 bénévoles qui se sont investis toute la semaine. Certains, déjà présents à Lyon, ont même proposé d'eux-mêmes de venir à Pau pour mettre la main à la pâte. 1500 jeunes des écoles du département ont par ailleurs été accueillis pendant les trois jours de compétition au Palais des Sports et ont pu profiter des animations périphériques mises en place. "Toutes les parties prenantes ont fait preuve d'un état de corps remarquable, la réussite de la Ligue Mondiale à Pau, après celle du TQCM à Lyon, est de bon augure en vue de notre objectif qui est d'accueillir le Championnat d'Europe 2019 en France", se réjouit le Directeur Général de la FFVB, Arnaud Dagorne.
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